Acte II : La recherche

La porte s'ouvrit avec violence, et une sombre silhouète s'y dessina, vite couverte par le son apocalyptique des buveurs, et des baguarres entre ivrognes. Calmement, le nouvel arrivant se rapprocha d'une table où se trouvaient une dizaine d'hommes jouant aux cartes, et effectuant des bras de fer, et il s'addressa à eux d'une voix douce:

"Bien le bonjour messieurs....."

"Salut. Tu veux quoi?"

"Un renseignement....."

"Hé! on est des hommes, pas des panneaux! Si tu veux te renseigner va voir un gosse, il te dira où il a mit ton cerveau!"

Eclattant de rire, les ivrognes adressèrent un regard moqueur à leur interlocuteur, et leur rire mourrut dans leur gorge, alors que leur visage devenait livide. Devant eux Nataniel retira lentement sa large capuche noire, et eut un sourrire froid, et emplit d'exitation:

"Je pense que vous avez raison, je vais aller voir quelques gamins....les votres par exemple....et leur rendre le cerveau que leur père a perdu.....d'un malencontreu coup d'épée...."

L'un des hommes renversa le contenue de son verre sur son pantalon en essayant de viser sa bouche et de réaliser ce que l'intru venait de dire, un autre ivrogne ce mit a trembler devant la grande lame noir poser sur sa gorge, alors que les autres tentaient tant bien que mal de trouver leurs armes. Calmement, Nataniel mit la main sur l'épaule de l'homme qui ce trouver assit a coter de lui, et demanda d'une voix forte, et froide à toutes les personnes de l'assistance:

"Bonsoir a tous, Je me prénomme Nataniel Fowl. Et pour une maudite somme d'argent j'étriperai ces homme comme bon vous semble !."

Une main deposa la lame où celle-ci risquait de couper la gorge de l'ivrogne et tassa la lame tranquillement et Nataniel senti un légétranblement.

- Je vous pris de laisser ces clients tranquilles ils sont sous et ne serait certainement pas apte de vous satisfaire peux importe la raison.

Une jeune fille d'age dont mentalité dépassait celle que sont corp laissait paraître se maintenant entre l'ivrogne et le nouveau venu. Elle tramblait légèrement mais ne lâcha pas l'arme pour autant.

-Désoler mais le patro n'aime pas les couleur de l'acier dans l'établissement alors remetter cette lame dans son foureaux. Je vous obtiendré une tabale et vous apporterai de quoi vous satisfaire.

*pourquoi ai-je si peur devant lui, j'en ai pourtant affronter des plus grand et plus batit que celui-ci.*

La jeune femme devait être une de ces innocente guerrière croyant impunément a la justice et la loi.. Mais bon peut importe..

"Mmm... pour ce geste j'aurait éventré n'importe qui cependant j'accepte ton offre jeune demoiselle."

Nataniel rangea son arme dans son fourreau dans un suintement de métal qui fit frissonner les ivrognes. Il tourna le dos à sa serveuse et s'avança au milieu des tables pour déposer sa cape sur le dossier d'une chaise de frêne. Il s'installa et déposa son arme sur la table. Sortit son briquet de métal et ce mit à jouer avec. Sans tournée la tête il lança:

"Ce sera un simple verre d'eau princesse. Et trouve moi un contrat au passage, je suis a cour d'or c'est temps si.."

laiser se message j'ai été trop lente

La chaleur ce faisait ressentir, un instant Nataniel cru que celas venait de l'intérieur de lui même. De son corps bouillonnant d'excitation a l'idée d'un nouveau contrat. Mais... non sa cape venait de prendre feu, il n'attendis pas et fit disparaître les flammes qui laissèrent derrière elles de simple lambeau tombant en cendre.

*Mais qu’est ce que...*

Une jeune femme venait de passer devant lui en le saluant étrangement... Il récupéra son arme laissa les cendre au sol et accourut vers la sortit mais... trop tard elle avait disparu. Il ce souvint de la jeune femme qui devait lui emmener un verre puis préféra s'enfuir dans l'ombre des ruelles. Pensif et surpris mais au fond il était jouissif... existait de rencontré enfin des personne qui osait s'opposer a lui...

Luna arriva le vers en mains mais découvrit que la table c'était vider. Elle regarda à l'entour mais elle ne le voyait pas. Elle bu le verre d'eau et alla le reporter dans la cuisine.

*Mais ou est-il passé. J'espère qu'il n'est pas partie hors de l'auberge pour y battre quelques personne.*

Le patron lui dit que son chiffe venait de finir qu'elle pouvait rentrer chez elle. Elle quitta l'auberge et partie vers le ruisseau.

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